L'Union Saint-Gilloise face à deux adversaires de taille cette semaine : "C'est pour ce genre de matchs qu'on joue au football"
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L'Union Saint-Gilloise n'a pas renoué avec la victoire à Malines. Un bon prétexte pour y parvenir en Europa League ?
A Malines, l'Union Saint-Gilloise a encaissé un nouveau coup sur la tête en concédant le partage dans le temps additionnel : "Nous sommes dans une période où nous devons construire. Je dois mobiliser à nouveau les joueurs, car après un super match à Malines, ils sont quand même déçus", avoue Sébastien Pocognoli.
"C'est bien qu'ils soient déçus : ce sont des compétiteurs" poursuit-il. "S'ils sont bons, je le leur dis. S'ils ne sont pas au niveau, je le leur dis aussi. Mon rôle est d'être positif." C'est donc aussi une rencontre positive avant celles qui arrivent dans les prochains jours.
Avec l'AS Roma, puis Genk, le menu sera copieux. "Ce sont deux matchs phares. De gros défis pour nous. Cela pourrait être un moment important dans l'histoire du club, mais aussi pour la carrière de certains joueurs".
Pas de doute, mais de la détermination
Noah Sadiki réfute l'idée que l'Union rencontre des difficultés mentales. "Non, on ne doute pas. Ces dernières années, nous avons toujours pris des raclées à Malines, pas cette fois. C'est positif. "
Même les adversaires renommés de cette semaine n'effraient pas l'ancien Anderlechtois : "C'est vrai, ce sont de très beaux matchs à jouer. C'est pour ce genre de matchs qu'on joue au football. On veut aussi gagner ce genre de rencontres, même si tout le monde dira que cela n'arrivera pas".
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