Le triste constat de Wouter Vrancken : "La JPL est une compétition de transition, un tremplin"
Photo: © photonews
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Depuis que Wouter Vrancken a repris les rênes de La Gantoise, il a dû immédiatement se mettre au travail pour bâtir un effectif, vu la courte préparation, les nombreux départs programmés et les compétitions internationales de l'été.
Les conditions n'étaient pas optimales pour Wouter Vrancken lors de la préparation, ce dernier devait se passer de plusieurs joueurs en raison de l'Euro, des Jeux olympiques et d'un été marqué de nombreux transferts sortant.
Difficile donc d'établir une équipe type, surtout qu'il peut encore y avoir beaucoup de changements à l'heure d'écrire ces lignes. En effet, Max Dean et Andri Gudjohnsen tenteront de remplacer le précieux Tarik Tissoudali. Pendant ce temps, Matias Fernandez-Pardo est toujours sollicité et son avenir en Belgique est incertain. Au milieu de terrain, exit Julien De Sart qui a rejoint le Qatar tandis que Mathias Delorge a posé ses valises à Gand.
Après le match contre Vikingur, Wouter Vrancken a été clair : "Ce n'est certainement pas encore un match de référence, mais c'est aussi difficile car il faut un bon adversaire pour cela."
Un peu plus tôt en préparation, le Limbourgeois avait déjà évoqué le fait que ses hommes devaient encore "trouver les connexions pour apprendre à se sentir mutuellement et se trouver facilement sur le terrain."
La Jupiler Pro League est une compétition de transition, un tremplin
Avec une préparation trop courte à son goût, coach Vrancken n'est pas du tout certain que son effectif actuel sera le même à la fin du mois d'août. Il y a encore beaucoup de points d'interrogation que ce soit en termes d'arrivées ou de départs.
En effet, Torunarigha va-t-il partir ? Et qu'en serait-il si un club formulait une offre suffisante pour Fernandez-Pardo ? "Il y a déjà eu beaucoup de mouvement et il se passera encore beaucoup de choses pendant ce mercato estival. Mais pas que chez nous, dans les autres clubs également", commente Vrancken.
Mais l'entraîneur des Buffalos accepte la situation : "Les matchs se succèdent rapidement, donc il n'y a pas de moment idéal pour les transferts. La compétition belge est, après tout, une compétition de transition pour beaucoup de joueurs, un tremplin. C'est une réalité."
Stress et nervosité jusqu'à la fin août ?
Comme les années précédentes, de nombreux clubs vont attendre nerveusement jusqu'à la fin août, date de la clôture du mercato, de peur de perdre des cadres. Une chose est sûre, les quatre prochaines semaines promettent en tout cas encore du mouvement sur le marché des transferts.
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