Des Diables...très français : comment la Belgique pourrait aligner un onze de base 100% Ligue 1

En Jupiler Pro League, la nationalité la plus représentée derrière les joueurs belges était encore une fois la France cette saison : nos voisins ont placé 28 joueurs en D1A, contre 20 au Japon ou 12 au Danemark, les plus proches poursuivants en la matière. A l'inverse, le championnat français compet également beaucoup pour les joueurs belges.

Si l'on s'attarde sur le noyau des Diables Rouges, on se rend ainsi compte qu'onze joueurs sont passés (ou évoluent encore en Ligue 1). Soit près de la moitié des noms convoqués par Tedesco. En allant un peu plus dans le détail, il apparaît que le championnat français s'est avéré être un beau tremplin.

La Ligue 1, le championnat idéal pour continuer à grandir ?

Pour presque tous les Diables concernés, le passage en France était soit une première expérience à l'étranger, soit l'occasion de franchir un palier. Mieux, ces onze joueurs pourraient constituer une équipe relativement homogène. 

Gardien et défense : Sels (six saisons pleines à Strasbourg) ; Meunier (première expérience à l'étranger au PSG), Faes (son passage à Reims lui a ouvert les portes de l'Angleterre), Carrasco (révélé à Monaco).

Milieu de terrain : Onana (sa saison à Lille lui a valu un transfert à Everton), Mangala (arrivé à Lyon l'hiver dernier)

Attaque : Lukebakio (Anderlecht l'avait prêté à Toulouse, sa première expérience à l'étranger), Doku (Rennes a été une bonne étape intermédiaire entre Anderlecht et Manchester City), Openda (une saison à Lens pour confirmer ses statistiques d'Eredivisie et ensuite filer à Leipzig).

Qui sait, cela pourrait toujours aider les commentateurs français à prononcer correctement le nom de certains de nos joueurs...