(Exclusif) Witsel séduit par les Diables 2.0 : "Ils mettent encore plus d'intensité que la génération précédente !"

Alessandro Schiavone
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(Exclusif) Witsel séduit par les Diables 2.0 : "Ils mettent encore plus d'intensité que la génération précédente !"
Photo: © photonews

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Axel Witsel nous a accordés quelques mots au sujet de son retour en sélection, et de l'envie qu'il décèle dans la nouvelle génération, lui qui découvre les Diables sous Tedesco. Et le défenseur de l'Atlético Madrid est très optimiste.

Axel Witsel n'a pas connu le retour rêvé sous le maillot des Diables Rouges ce mercredi, face au Monténégro. Les premières minutes du vétéran ont été fébriles, avec quelques passes faciles loupées et même une grosse absence qui aurait pu coûter cher sans un bel arrêt de Koen Casteels.

Mais Witsel a ensuite repris du poil de la bête, et nul doute qu'il montera en puissance à l'approche de l'Euro 2024. "Depuis mon retour, dès les premiers jours à l'entraînement, j'ai pu voir que les jeunes joueurs avaient vraiment énormément de qualité", se réjouit-il à notre micro après la rencontre. 

Le défenseur de l'Atlético Madrid l'avait déjà dit en conférence de presse : les Diables ont participé à des séances d'entraînement très intenses. "La nouvelle génération met énormément d'intensité à l'entraînement... même plus que notre génération !", nous confirme-t-il. "On a vraiment une bonne équipe".

Witsel compare les deux générations 

Mais il n'y a pas que l'intensité, bien sûr : la "génération dorée" abordait les tournois entourée de grandes attentes, que les Diables Rouges de Tedesco ne connaissent peut-être pas au vu de la période de transition nécessaire après une Coupe du Monde 2022 totalement ratée.

Witsel Axel
© photonews

"Nous ne pensons pas à ça du tout. Oui, aujourd'hui, nous sommes peut-être des outsiders, mais ça nous va", assure Witsel. "Même par le passé, quand nous étions soi-disant parmi les "favoris", il y avait énormément de grandes nations très fortes. Cette fois, oui, on fait partie des outsiders, mais on prendra match par match". 

Et si certains voient la Belgique moins forte en 2024, Axel Witsel prévient les sceptiques. "En 2018, bien sûr, nous étions très forts... mais croyez-moi : cette équipe répondra présent", conclut le "nouveau", qui fêtait sa 131e cap ce mercredi. 

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