🎥 Le transfert d'Adrien Trebel du Standard à Anderlecht a laissé des traces : "Tu te dis que les gens sont des malades"

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Adrien Trebel a commencé son aventure sur le sol belge au Standard, avant de rejoindre ses deux plus grands rivaux. Un parcours surprenant, que le médian français a expliqué.

Standard, Anderlecht, Charleroi. L'itinéraire d'Adrien Trebel n'est pas commun, c'est une certitude. Le Français, en quittant Sclessin pour Bruxelles, ne s'était déjà pas fait que des amis. Il a cependant expliqué la raison qui l'a poussé à quitter les bords de Meuse.

"Je ne sais pas si je suis incompris. J'ai fait des choix qui font que les gens ne me comprennent pas spécialement. Ils ne savent pas pourquoi j'ai signé à Anderlecht" poursuivait Trebel dans l'émission "Football Time" de Sacha Tavolieri.

"J'ai toujours dit que les meilleurs supporters de Belgique étaient ceux du Standard. Mais pour mon bien-être et le fait de repousser mes limites, Anderlecht était la bonne opportunité. Ça m'a permis d'avoir des top clubs européens qui s'intéressaient à moi.

L'inconsistance était déjà un problème du Standard

C'est donc pour un projet purement sportif que Trebel a fait le passage entre les deux grands ennemis du football belge. Un passage qui a laissé quelques traces, tant sur le plan privé que sur les réseaux sociaux. Le milieu de terrain a essayé de protéger sa famille des dérives survenues.

"Le problème du Standard, et je le savais, c'est que ça se passait bien pendant trois semaines, puis t'as quatre semaines où ça se passe mal. À Anderlecht, quand le TGV est lancé, c'est le rouleau compresseur à tous les matchs. Tout le monde vient au stade, tu gagnes, c'est le club le plus titré du championnat,..." 

"Les gens ont du mal à se mettre à la place des joueurs. Ils ne savent pas ce qu'il y a derrière, pourquoi tu fais des choix…, Quand je fais ce transfert, je savais la pression médiatique que j'allais subir. J'ai protégé ma famille au maximum. Ce qui m'a fait de la peine, c'est qu'on s'attaque à ma famille. J'ai vu des vidéos, avec des photos brulées de mon petit neveu, qui était un petit peu la mascotte quand j'étais au Standard. Tu te dis que les gens, ce sont des malades."

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