Contrairement à Deila, Hayen veille à ce que des millions supplémentaires rentrent dans les caisses

Alors que Ronny Deila était plus du principe "je suis l'entraîneur et c'est moi seul qui prends les décisions", Hayen a bien écouté les préoccupations de la direction. Tout d'abord, l'ADN du Club - jouer à 100% à tout moment - devait être retrouvé.

Deila sourd face aux souhaits de la direction

Cela a été bien intégré au cours des derniers matchs et demi. Deuxièmement, il ne fait pas le sourd face aux conseils venant d'en haut. Ce n'était pas le cas de Ronny Deila. Comme il n'était pas fan de Raphael Onyedika, celui-ci a perdu son rôle de titulaire.

Il n'était pas assez fiable défensivement car il quitte trop souvent sa position. Mais c'est ce qui rend Onyedika fort. Le Nigérian n'est pas un milieu défensif qui récupère le ballon et le rend rapidement à ses côtés. Il intervient dans la construction et a les pieds pour le faire.

Le Club n'a pas payé 10 millions d'euros pour "un n°6" qui ne fait que récupérer des balles. Ils auraient pu continuer avec Eder Balanta. C'était ce que Deila ne voulait pas comprendre, car il a d'autres exigences pour un milieu défensif.

Vetlesen devrait entrer en jeu

Hayen a depuis rendu Onyedika à nouveau important et il a même été le héros du match contre Anderlecht. Le coach intérimaire a simplement ajusté légèrement la dynamique au milieu de terrain : Vetlesen doit jouer aux côtés d'Onyedika et les deux doivent prendre échanger leurs tâches lorsque l'un d'entre eux part à l'aventure.

Cela ne devrait pas laisser le Club sans profit. Sa valeur marchande est maintenant d'environ 8 millions d'euros, mais le Club veut en tirer profit. C'est pourquoi ils ont également recruté Ardon Jashari, car Onyedika sera très probablement vendu.

Il pourra prouver dans les semaines à venir qu'il vaut une somme supérieure. Pour lui-même, il est bien sûr aussi important de susciter de l'intérêt. Car il rêve de l'Angleterre...