Il n'y a pas que les joueurs de Pro League qui cherchent du soleil : comme à Anderlecht ou à Bruges, les infrastructures n'aident pas le personnel

Il n'y a pas que les joueurs de Pro League qui cherchent du soleil : comme à Anderlecht ou à Bruges, les infrastructures n'aident pas le personnel

Suis Walfoot dès à présent sur WhatsApp !

Les greenkeepers dans notre pays, ces derniers mois, ont tenté l'impossible et ont largement réussi. Malgré le mauvais état des terrains et la météo capricieuse, on a pu continuer à jouer au football en Belgique.

Ce ne sont pas seulement Anderlecht et le Club Bruges qui ont eu des problèmes avec leur pelouse ces dernières semaines/mois. Allez jeter un œil à Courtrai, à Eupen, à Molenbeek ou à Westerlo. Cet hiver, les jardiniers ont été désemparés. Entre novembre et décembre, il a plu deux fois plus qu'en moyenne. De très mauvaises conditions météorologiques pour l'entretien des terrains.

Janvier et février n'ont pas montré beaucoup d'améliorations. Ajoutez à cela une épaisse couche de neige qui a fondu à une vitesse record. Le résultat, des terrains gorgés d'eau. Ce problème affecte non seulement les agriculteurs, mais aussi les jardiniers.

Les infrastructures obsolètes n'aident pas

Dans des stades comme ceux de Gand et de l'Antwerp, il y a un excellent système de drainage, relativement nouveau, et un travail acharné est réalisé pour maintenir la pelouse en état optimal. Cela se fait également dans les autres clubs, mais parfois, c'est une lutte contre vents et marées en raison d'une infrastructure obsolète.

C'est en effet le cas pour Anderlecht et le Club Bruges. On ne peut rien reprocher aux personnes chargées de l'entretien du gazon, car même leurs miracles ne peuvent rivaliser avec une telle force de la nature. Ces personnes surveillent aussi la météo tous les jours et font une prière avant de vérifier leur application.

Les jours récents ont apporté de l'optimisme, puisque la fin du mois devrait être plus chaude et surtout... plus sèche. Cela devrait améliorer la qualité de la pelouse et du football. Cependant, les "greenkeepers" savent que beaucoup de travail les attend pour tout remettre en état.

Corrigeer
Une erreur dans l'article ci-dessus? Annoncez le ici!

Inscrivez-vous maintenant à la newsletter de Walfoot

Plus de news

Plus de news