C'est l'heure de Roméo Lavia : "Un de mes exemples ? Axel Witsel"

C'est l'heure de Roméo Lavia : "Un de mes exemples ? Axel Witsel"
Photo: © photonews

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Enfin, le voilà : Roméo Lavia s'est présenté à la presse belge. Le milieu de terrain de Southampton est l'un des talents les plus attendus de l'ère Tedesco.

L'adaptation de Roméo Lavia (19 ans) au sein des Diables Rouges se passe bien, et le jeune médian de Southampton semble comme un poisson dans l'eau. "C'est un grand honneur d'être ici et maintenant que j'y suis, l'objectif est d'apprendre à connaître mes équipiers...puis qui sait, d'avoir du temps de jeu", déclare Lavia pour sa première conférence de presse.

Roméo Lavia aura été patient, lui qu'on imaginait déjà intégrer les Diables sous Roberto Martinez. "J'ai pris ça très calmement. Je suis un jeune joueur, je savais que mon heure viendrait", affirme-t-il. 

De Bruyne, Lukaku et l'ambiance familiale

S'il a pour l'instant échappé au bizutage sous forme de chanson à entonner ("J'espère qu'ils oublieront", plaisante-t-il), Lavia se sent comme un poisson dans l'eau à Tubize. "L'ambiance familiale m'a impressionné. Tout le monde te met à l'aise", se réjouit le néo-Diable, qui confirme bien s'entendre avec Amadou Onana et espérer lui être associé.

Le nouveau capitaine des Diables, Kevin De Bruyne, Lavia le connaît également très bien. "Nous avons une belle complicité datant de Manchester City. C'est un leader naturel tant dans le jeu que dans la voix qu'il a dans le vestiaire". Lukaku fait également partie des joueurs qui ont aidé l'ex-Anderlechtois à s'intégrer.

Les critiques m'ont motivé à prouver que j'avais raison

Les deux hommes ont peut-être évoqué le départ, très jeune, de Roméo Lavia pour Manchester City au lieu de rester à Anderlecht. Un choix que le milieu de Southampton assume : "C'était ma voie, et les critiques m'ont motivé. C'est une fierté d'avoir eu du temps de jeu à City puis de m'être imposé en Premier League".

Enfin, Roméo Lavia a évoqué le Diable Rouge dont le style se rapproche le plus du sien : "Je dirais que c'est Axel Witsel. C'est celui auquel je m'identifie le plus. Je ne parlerais pas d'idole, juste un grand exemple de par sa carrière", révèle l'ex-Citizen, qui ne pourra donc pas cotoyer (cette fois) Witsel en sélection...

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