Jan Vertonghen sur le brassard "One Love" : "J'ai peur de ne pas être sur le terrain demain si je dis quelque chose par rapport à ça"

Jan Vertonghen sur le brassard "One Love" : "J'ai peur de ne pas être sur le terrain demain si je dis quelque chose par rapport à ça"
Photo: © photonews

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Le recordman de sélections avec les Diables Rouges s'est exprimé devant la presse, la veille de la rencontre face au Canada.

Interrogé sur le sujet épineux et grandement polémique du brassard "One Love", que les Diables ne porteront pas suite aux pressions de la FIFA, Jan Vertonghen a tout simplement ne pas préféré répondre. "Je ne me sens pas à l'aise même pour parler de ça", a-t-il confié.

"Cela en dit assez. J'ai peur de ne pas être sur le terrain demain si je dis quoi que ce soit à ce sujet", a déclaré Vertonghen, devant une salle de presse ébahie. Le défenseur d'Anderlecht semble pourtant bien avoir son opinion sur le sujet, mais se réserve bien d'en parler pour l'instant. "C'est une situation regrettable qui, je l'espère, ne se reproduira pas. Nous sommes ici pour jouer au football et si nous ne pouvons pas le faire en faisant une déclaration..... Je ne vais rien dire à ce sujet car je veux être au coup d'envoi demain."

Ca peut marcher pour nous ! 

Au micro de la RTBF, Vertonghen a ensuite parlé du premier match, à l'occasion duquel il sera donc titulaire. "Le staff médical a été clair concernant mon mollet. Je n'ai rien senti sur les deux-trois derniers entraînements. (Sur sa position en défense) Je n'ai pratiquement jamais joué en tant que central, toujours à gauche. Je ne pense pas que c'est le moment pour expérimenter."

Vertonghen a ensuite parlé de la dynamique actuelle de l'équipe nationale. "Je pense que ça peut marcher ! On n'est plus la même équipe qu'en 2018, parce que tout le monde était au top. Maintenant, c'est un mix entre l'expérience et des jeunes qui vivent leur premier tournoi. J'ai plus confiance en cette équipe et pour le futur que comparé à l'année passée. Des joueurs comme Charles (De Ketelaere), Youri (Tielemans), (Amadou) Onana, Zeno (Debast) sont jeunes et sont le futur de l'équipe nationale. Ce n'était pas le cas en 2018." 

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