Anderlecht souffle : "Les sifflets ? Il ne fallait pas prendre ça personnellement"
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La différence que peut faire une semaine ! Après les sifflets face à Courtrai, les supporters d'Anderlecht ont fait la fête ce samedi au Mambourg.
Certes, dans le jeu, ce n'était pas encore tout à fait ça, mais chez un Charleroi costaud, il fallait surtout avoir du répondant. "On connaît le jeu qu'Edward met en place, c'est homme contre homme, et dans ces cas-là, tu peux toujours essayer de combiner mais il n'y a pas d'homme libre", sourit Vincent Kompany après la rencontre. "C'est vrai qu'aujourd'hui, Hendrik a été notre homme providentiel et que c'est inhabituel, mais le pressing adverse l'était aussi. Nous dépendons toujours de l'adversaire", ajoute-t-il plus sérieusement.
Anderlecht est surtout resté calme ce soir au Mambourg. "On ne s'est pas créés de problèmes et c'est le plus important. Pour le jeu en combinaisons, on verra ça face à un autre adversaire", relativise Kompany. Qui remet également l'église au milieu du village en ce qui concerne l'attitude du public ces derniers jours.
Des sifflets à relativiser
"Les sifflets ? Il faut faire attention à ne pas prendre ça personnellement. L'Anderlecht que j'ai connu en tant que joueur pouvait être sifflé en menant 2-0 à la pause parce que le jeu n'était pas assez bon", se rappelle Vincent Kompany. "Ils nous soutiendront toujours et sont même moins critiques actuellement. Mais par moments, en tant que supporters, ils ne peuvent pas faire autrement que siffler, c'est leur façon de se faire entendre".
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