Le Portugal "était de plus en plus nerveux", reconnaît le coach Fernando Santos
Photo: © photonews
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Le Portugal a fini par faire sauter le bouchon face à la Hongrie, mais s'est fait un peu peur.
Le scénario du match rappelait Espagne-Suède la veille : une équipe dominait outrageusement l'autre, mais aucun but ne tombait. Avec une donnée différente : la Hongrie était devant un public bouillant, avec plus de 60.000 supporters magyars dans la Puskas Arena. Et les Hongrois ont presque porté leur équipe vers un exploit lorsque Schön croit ouvrir le score sur un contre, mais est signalé hors-jeu.
"Oui, nous étions de plus en plus nerveux", reconnaissait d'ailleurs après la rencontre le sélectionneur portugais Fernando Santos, qui relativisait tout de même après la victoire au final large (0-3). "Nous avons bien joué, ne leur avons laissé que peu d'occasions et en avons eu quatre assez claires. Mais quand votre adversaire est regroupé derrière, c'est difficile de marquer", pointe-t-il encore. "À la mi-temps, j'ai dit aux joueurs de garder ce rythme. J'ai déplacé Cristiano à gauche. Raphaël Guerreiro n'était pas assez prêt du jeu (c'est finalement lui qui a débloqué la situation, nda). Nous avions besoin de quelqu'un qui tienne le ballon et le monte, de vitesse depuis l'arrière".
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