Interview Tom De Sutter n'est pas inquiet concernant les problèmes de finition du Club et évoque "la bouteille de Ketchup" de MPH
Photo: © Photonews
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Ce mardi soir à la Türk Telekom Arena, le Club de Bruges est parvenu à arracher le partage dans les arrêts de jeu contre Galatasaray. Un point qui s'avère précieux pour la suite de la compétition et cette troisième place qualificative pour les 16ème des finale de l'Europa League.
Le Club de Bruges pourra nourrir des regrets après son partage en Turquie contre Galatasaray. Les Brugeois ont affronté une équipe dont la moitié des titulaires étaient absents et donc plus que prenable. "Vraiment dommage que le Club n'ait pas pris les trois points là-bas. Néanmoins, un nul à Istanbul n'est pas si mauvais", nous explique Tom De Sutter. "C'est toujours spécial et compliqué de se déplacer au Galatasaray, à Besiktas ou au Fenerbahce. Un public de fanatiques qui n'hésite pas à mettre la pression sur l'adversaire. J'avais connu cette folle atmosphère quand j'évoluais en Süper Lig du côté de Bursaspor (2015-2016)", souligne le buteur âgé de 34 ans.
Le Club de Bruges galvaude beaucoup d'occasions, manque parfois de lucidité dans la dernière passe et surtout pèche en zone de finition. "Okereke a effectué de bons débuts mais semble un peu dans le creux en ce moment, c'est vrai. Mais c'est un poste particulier. Parfois pendant un mois, tout rentre puis le mois suivant, tout passe à côté. Michel Preud'homme avait utilisé l'exemple d'une bouteille de Ketchup à l'époque. Quand tu essaies d'en avoir et que tu te tapotes. Rien n'arrive au début puis tout coule d'un coup. Pareil chez les attaquants. Le Club retrouvera bientôt facilement le chemin des filets, j'en suis sûr", a conclu le joueur de Knokke.
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