Marc Wilmots compare le niveau du championnat iranien avec le belge
Après avoir été sélectionneur fédéral de la Belgique et de la Côte d'Ivoire, Marc Wilmots a retrouvé une fonction identique en Iran. Jusqu'ici, il a dirigé l'équipe iranienne lors de trois rencontres internationales. Son bilan : deux victoires et un match nul.
De par sa nouvelle fonction, Marc Wilmots suit évidemment le championnat iranien : "Je peux le faire facilement de chez moi grâce à la technologie. Avec des programmes comme Wyscout ou d’autres, je ne rate rien. Il y a dix jours, je me suis rendu en Iran pour trois jours et j’ai pu voir le match au sommet entre Esteghlal et Persépolis. Il y avait 70 000 personnes dans le stade."
Niveau
Interrogé par La Dernière Heure / Les Sports, il a comparé le niveau de la D1 locale avec la Jupiler Pro League : "Ce n’est pas simple de comparer avec ce qu’on connaît en Europe, mais le niveau est bon. L’Iran a le meilleur championnat d’Asie avec le Japon et la Corée du Sud. En tout cas, Persépolis n’est pas moins fort que Courtrai, par exemple."
Depuis quelques années maintenant, plusieurs joueurs iraniens ont d'ailleurs fait irruption dans notre compétition. C'est le Sporting Charleroi qui a initié le mouvement avec Kaveh Rezaei. Logique puisque son directeur général, Mehdi Bayat, est d'origine iranienne ! Au vu du succès de l'opération, plusieurs autres clubs belges lui ont emboîté le pas.
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