Blondelle et Vormer analysent le partage : la fatigue est-elle l'une des causes de la contre-performance brugeoise ?
Photo: © photonews
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Le Club de Bruges n'a pas su transpercer le mur de la KAS Eupen. Le mérite en revient partiellement aux Germanophones, mais le jeu décevant des Blauw en Zwart n'y était pas étranger non plus. Qu'est-ce qui peut expliquer une telle prestation ?
"Tu sentais que ça allait plus lentement chez eux et à cause de cela, nous avions plus facile. Nous avons pu placer notre bloc dès la première minute" estimait Siebe Blondelle à l'issue du match entre le FC Bruges et Eupen. "C'est une équipe dominante, mais tu voyais qu'il y avait quand même un peu de fatigue dans leurs rangs."
De son côté, Ruud Vormer n'en avait cure : "De la fatigue ? C'est une excuse facile. Nous ne devons regarder que nous-mêmes : nous voulions rapidement décanter la partie grâce à un but rapide. Mais nous avons oublié de marquer. Nous avons joué trop lentement."
En tirer des leçons
Le bloc d'Eupen a également bien tenu son rôle : "C'était un petit peu comme un match de handbal avec le ballon qui tourne. Dans ce cas, tu dois pouvoir trouver les attaquants plus rapidement et leur faire mal comme ça. Nous n'avons pas pu le faire."
"Linz ? Ce n'était pas encore dans nos têtes, non. Si ça avait été le cas, cela n'aurait pas été bien. Nous n'étions pas occupés avec ce match" a assuré le milieu de terrain néerlandais du FC Bruges. "Nous devons en tirer des leçons" était la conclusion d'Hans Vanaken.
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