Zetterberg raconte une anecdote sur l'un de ses entraîneurs : "Ils auraient pu appeler les pompes funèbres"

Zetterberg essaie d'inculquer une mentalité de vainqueur à Anderlecht.  Il l'a lui-même apprise de Johan Boskamp : "Il m'a appris quelque chose d'important : sur le terrain, vous pouvez vous disputer.  Mais lorsque vous le quitter, c'est terminé.  Ce qui se passe sur la pelouse reste sur la pelouse. Il pouvait parfaitement accepter qu'un joueur lui dise sa façon de penser."

Zetterberg en a eu une fois assez.   "Je suis allé le trouver et je lui ai dit : 'Coach, j'en ai marre.  Que veux-tu finalement ?'  Il m'a répondu : 'Ecoute... Le jour où je ne crierai plus sur toi, tu pourras te faire du souci.'  J'ai compris ce qu'il voulait dire" raconte-t-il dans les colonnes du Nieuwsblad.

Il pouvait supporter beaucoup de choses, mais il ne fallait pas aller trop loin

Mais les joueurs ne devaient pas non plus aller trop loin : “Boskamp pouvait supporter beaucoup de choses, mais il ne fallait pas exagérer. Après un match à l'extérieur, un supporter de l'équipe locale attendait notre bus.  Lorsqu'il a vu Boskamp, il l'a frappé au visage.  Nous nous sommes mis à plusieurs pour retenir notre coach.  Ce supporter peut être très content.  Si nous l'avions laissé faire, ils auraient pu appeler les pompes funèbres."