Affaire Pozuelo : les signatures sont posées, le président de Genk Croonen s'explique

"Si nous avions durci le jeu juridiquement, je pense qu'il serait resté.  La question est : qu'avions-nous à y gagner ?" se demande le président de Genk Peter Croonen dans les colonnes du Laatste Nieuws au sujet de Pozuelo. 

Avoir raison n'est pas tout : "Nous sommes convaincus que nous aurions amené des turbulences dans le vestiaire et que Pozuelo n'aurait pas été sélectionnable pour une période indéterminée.  Il avait sa tête déjà à Toronto.  Les discussions auraient constamment tourné autour de lui.  Ce n'est pas honnête vis-à-vis du reste du groupe."

Le meneur de jeu terminera bien la saison régulière...  Encore trois matchs donc.  Jouera-t-il à fond ?  "J'en suis convaincu.  J'espère que les fans voudront aussi lui donner cette chance.  Nous n'avons rien à gagner à le déstabiliser et à faire de lui un bouc émissaire." 

Mais ce n'est pas le président du Racing qui décidera du sort du joueur : "Si l'entraîneur décide de le titulariser, je suis sûr qu'il jouera encore trois très bons matchs pour nous.  Il ne partira pas par la grande porte, mais pas non plus par une porte dérobée."

Premiers éléments de réponse ce soir au stade du Pays de Charleroi.

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