Entraîner en Chine? Martinez ne l'exclut pas

Dans son entretien de fin d'année avec Het Laatste Nieuws, Roberto Martinez a expliqué ce qui comptait le plus pour lui au moment de signer un contrat: "Je trouve important de travailler pour un propriétaire ou un président qui croit en moi et qui me donne ma chance. Cela peut se trouver n'importe où, la géographie ne ferme aucune porte à mes yeux", explique-t-il.

"Oui, le championnat chinois m'intéresse. Les gens en ont une idée tronquée. Ils pensent que les étrangers y font la différence, mais il y en a maximum trois par club", insiste Martinez. "Si j'ai reçu une offre? Oui. Au lieu de devenir sélectionneur des Diables, je pouvais signer en Chine". 

Et si Martinez a décliné l'offre, ce ne sera peut-être pas toujours le cas. "J'y repenserai à l'avenir si on me propose un vrai projet. Carrasco? Il est tout aussi impliqué en sélection qu'avant son transfert. Il joue peut-être pour l'argent, mais c'est le cas de beaucoup de footballeurs".