Ali Gholizadeh explique les difficultés qu'il a rencontrées à son arrivée à Charleroi
Photo: © photonews
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Ali Gholizadeh semble être lancé pour être une des révélations de la saison en Jupiler Pro League. Néanmoins, il n'a pas été tout de suite efficace au Sporting Charleroi. Il lui a fallu un temps d'adaptation... qui n'est pas encore terminé. Il ne parle toujours pas en français ou en anglais.
Précédé d'une solide réputation, Ali Gholizadeh a mis un peu de temps avant de trouver ses marques au Sporting Charleroi : "Lors de mes premiers matchs, je voulais d’abord mettre mes qualités individuelles et offensives en avant, ce qui est normal, je pense. Je jouais mon football, tout simplement. Mais j’ai rapidement compris qu’ici, on attendait autre chose de moi. Et ça ne me dérange pas. Je me sens de mieux en mieux."
Reconversions défensives
Ce que Felice Mazzù attend précisément, c'est que les reconversions défensives soient exécutées : "Mais je suis en train de progresser sur ce plan-là. Je suis de plus en plus exigeant avec moi-même. Je comprends de mieux en mieux les consignes du coach, même si tout n’est pas encore parfait."
Car dans son ancienne formation, ce n'était pas vraiment une de ses préoccupations : "Je jouais dans une équipe qui exploitait principalement les contre-attaques et au sein de laquelle nous étions trois à ne pas participer aux tâches défensives. On se focalisait uniquement sur l’attaque. Et ça a plutôt bien marché, puisqu’on a terminé troisièmes."
Football différent
Et puis, le football en Iran n'est pas le même que celui pratiqué en Belgique. Il s'en rend compte dans les colonnes de la Dernière Heure / Les Sports : "Il est plus physique qu’en Iran, c’est clair. La vitesse d’exécution est également plus rapide ici."
Mais il semble s'en être bien accommodé ces dernières semaines.
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