La panne offensive d'Eupen : "On ne marque pas sur des actions construites"
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De retour à Sclessin sous le maillot eupenois sept ans après la victoire du petit promu germanophone en bord de Meuse, Danijel Milicevic a été lancé dans la partie quand il était déjà trop tard.
Eupen a tenu 20 minutes face aux Rouches. "On n'a pas montré grand chose. Jouer à Sclessin, ce n'est jamais facile, surtout pour une équipe comme la nôtre. On avait besoin de se relancer après deux défaites, ça fait donc mal. On avait pourtant bien commencé le premier quart d'heure", réagissait Milicevic.
Sa montée au jeu n'a pu changer la donne. "Quand c'est 2-0 à la mi-temps ici, il faut un miracle pour revenir. Il va falloir se remettre au travail, et oublier ce résultat pour se concentrer sur Waasland-Beveren. Un match très important face à un concurrent direct."
Pendant ce 0 sur 9, un seul but a été inscrit. Au Standard, Ochoa n'a pas eu le moindre ballon à négocier. "L'état d'esprit fait défaut, ainsi que la qualité de jeu dans les 30 derniers mètres. On ne parvient pas à marquer sur des actions construites", pointe le médian bosnien. "Luis Garcia est notre meilleur buteur et il a surtout marqué sur des coup-francs, des pénalties ou sur des tirs déviés. Il faut travailler sur ce point."
"Il va falloir se remettre en question, nous sommes encore trop irréguliers. Notre noyau est jeune, mais il doit apprendre de ses défaites. On verra par la suite si c'est le cas", a-t-il conclu.
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