Six mois après la reprise, Mouscron est à nouveau à vendre (en partie)
Photo: © photonews
C'est bien de trouver des investisseurs étrangers, mais il y a des risques. Par exemple, ils peuvent être séduit par de meilleurs opportunités et délaissé leur ancien projet. C'est un peu ce qu'il est en train de se passer à Mouscron.
L'homme d'affaires thaïlandais Pairoj Piempongsant avait racheté il y a six mois 90 pourcents de parts de Mouscron. Mais il revend maintenant 45 pourcents. Le Thaïlandais préfère investir au Panathinaikos dont il détient aussi 50 pourcents.
"C'est dommage qu'il revende la moitié, mais ce n'est pas un drame" a réagi le président Patrick Declercq dans le Nieuwsblad. "Qui sait, nous pourrons peut-être en profiter, si nous pouvons louer des joueurs du Panathinaikos à moindre prix. On en a déjà parlé."
Club satellite ?
Mouscron espère donc devenir une sorte de club satellite du Panathinaikos. Mais l'homme d'affaires thaïlandais pourrait également revendre toutes ses parts. "Tout est possible. Mais ça, il n'en a encore jamais parlé. Nous croyons toujours en lui. Mais avec huit millions de budget, le plus petit en D1A, ce n'est pas évident. Et Piempongsant ne va pas injecter plus d'argent."
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