En 2014, la rotation était de mise chez les Diables, mais un témoin privilégié explique pourquoi la situation est différente aujourd'hui

Malik Hadrich
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En 2014, la rotation était de mise chez les Diables, mais un témoin privilégié explique pourquoi la situation est différente aujourd'hui
Photo: © photonews
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Demain soir, Roberto Martínez modifiera considérablement son onze de départ contre l'Angleterre. Il veut laisser reposer quelques garçons qui ont des petits bobos et donner une chance à d'autres joueurs. Mais est-ce une bonne idée ?

En 2014, les Diables Rouges avaient déjà entamé leur troisième match de poule contre la Corée du Sud avec une équipe de base considérablement remaniée.  A ce moment-là, Marc Wilmots avait décidé d'effectuer une rotation en vue des huitièmes de finale.  Avec succès puisqu'ils s'étaient imposés 1-0 et affichaient un bilan de neuf points sur neuf !

Vermaelen 

Mais pour Vital Borkelmans, la situation est différente aujourd'hui.  Le bras droit de l'ancien sélectionneur fédéral en explique la raison principale au Laatste Nieuws : "Je comprendrais que Martinez ne veuille prendre aucun risque avec des joueurs menacés de suspension ou qui ont des petites blessures.  C'est aussi l'occasion de voir où en est Thomas Vermaelen. 

Mais le fait est que le troisième match sera face à l'Angleterre.  Ce qui est spécial pour de nombreux garçons.  Kevin De Bruyne n'en fera pas une maladi s'il devait être épargné pour éviter une suspension.  Mais je connais Eden Hazard et Romelu Lukaku et ils ne veulent manquer pour rien au monde la confrontation avec les Anglais.  Surtout Romelu !  Il est engagé dans une lutte avec Harry Kane pour le classement du meilleur buteur."

Mais il faut encore qu'ils soient en état de jouer...


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