"Saint-Trond est Japonais? Pour nous, ça ne devrait pas changer grand-chose"
Mardi, on apprenait que Roland Duchatelet avait revendu ses parts du club trudonnaire à une société japonaise. Mais dans le vestiaire, les Canaris ne sont pas trop inquiets.
Depuis mercredi, c'est officiel, le STVV est passé dans les mains de DMM.com, une société japonaise. Une décision qui n'a pas vraiment surpris les joueurs. "Il y a déjà un petittemps qu'on nous avait prévenus que, petit à petit, le club allait être cédé à une société étrangère", explique Lucas Pirard.
Il n'y a donc pas d'inquiétude dans le vestaire trudonaire. "Non, pas du tout. On l'a appris début de semaine. Mais pour nous, ça ne devrait pas changer grand-chose. D'ailleurs, et déjà avant, on ne voyait que très rarement le président", souligne-t-il.
Le plus important pour nous? Préparer le match qui vient
Et surtout, la structure du club ne devrait pas évoluer. "On n'a vraiment aucune crainte, parce qu'on nous a assuré que le fonctionnement serait le même et que la plupart des gens qui travaillent dans ce club, resteraient en place."
Une quatrième place à défendre
Avec peut-être des évolutions à venir dans les infrastructures du club. "On nous a parlé d'un nouveau centre d'entraînement qui devrait voir le jour. Mais ce n'est pas pour tout de suite, donc pour l'instant, on n'est pas trop concernés", remarque-t-il.
D'ailleurs le regard des Trudonaires est d'abord et avant tout tourné vers le prochain match de championnat. "Le plus important pour nous? C'est de préparer le match qui vient", confirme le gardien des Canaris. Samedi, le STVV se déplace à Courtrai, avec une quatrième place à défendre.
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