La valse des entraîneurs en Pro League n'est peut-être pas encore finie

Hermès Van Damme
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La valse des entraîneurs en Pro League n'est peut-être pas encore finie
Photo: © photonews

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Après un peu plus de deux mois de compétitions en Belgique, de nombreux entraîneurs ont déjà quitté le club qu'ils entraînaient pour cause de mauvais résultats. Et la valse n'est sans doute pas finie !

Tintin Marquez n'aura pas tenu longtemps à la tête de Saint-Trond. Après deux matches (1 victoire 1 défaite), les deux parties se séparent à cause de nombreux points de désaccord. C'était le 7/08/2017. Après un court intérim d'O'Loughlin, c'est Jonas De Roeck qui reprend les rênes des Canaris.

Deux jours plus tard (9/08), Runar Kristinsson est remercié par Lokeren après deux revers en championnat contre Bruges (0-4) et contre Courtrai (0-1). Il est rapidement remplacé par Peter Maes.

Le 18 septembre, soit un peu plus d'un mois plus tard, Anderlecht ne peut plus tenir avec René Weiler qui affiche un triste bilan de 9 sur 21. Suite à un nul à Courtrai (2-2) et de nombreux 'Weiler buiten' venus des supporters anderlechtois, le Sporting décide de limoger l'entraîneur suisse. Frutos assurera l'intérim.

Le 19 septembre, Ostende licencie Yves Vanderhaeghe après un début un début de saison catastrophique (1 point sur 21). Le 27 septembre, Gand et Vanhaezebrouck se séparent également pour cause de mauvais résultats.

Une semaine plus tard, Vanhaezebrouck prend la place de Weiler à Anderlecht et Vanderhaeghe signe à Gand. Ostende devrait conserver l'entraîneur intérim, Adnan Custovic.

Qui seront les suivants ?

Les clubs de Pro League ont donc la gachette facile en ce début de saison même si parfois, le coach en poste est parti de lui même, ne pouvant plus tenir avec la pression du manque de résultat.

Et des têtes devraient encore tomber durant les prochaines semaines. Il y a évidemment Sa Pinto qui ne répond pas aux attentes (9 sur 27) et qui pourrait sauter mais aussi Albert Stuivenberg qui déçoit beaucoup en ce début de saison (10 sur 27). La position de Yannick Ferrera s'est également fragilisée avec un début de saison poussif (8 sur 27) mais il devrait garder la confiance du club s'il relève la barre rapidement.

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