Les derniers mois de Leroy à Anderlecht

"Je m’occupe de tout ce qui est voitures de joueurs et d’autres employés du club, explique Pierre Leroy à La DH. Assurances, amendes, parquet, accidents… Et si je peux aider un joueur avec un truc ou l’autre, je le fais. Spajic, par exemple, m’appelle ‘La Légende’. Mais je ne me mêle pas du travail de Gunther Vanhandenhoven, l’actuel team manager. Il fait très bien son boulot."

Âgé de 78 ans, Leroy sait très bien que dans deux ans, son histoire "s’arrête à Anderlecht. D’un commun accord, on a décidé que je ne travaillerais plus. J’ai déjà dit, en blaguant, que six mois plus tard, ils pourront me mettre entre six planches. (Rires) Ou bien, il faudrait que je sois transféré au Standard…"

"Les trois plus beaux moments (de sa carrière, Ndlr) ? La qualification à Barcelone via le but de Vanderlinden. Le 25e titre, après lequel on a été reçus par le prince Philippe au Palais. Et mon dernier match, en 2007 contre le Brussels, quand le stade m’a donné une ovation. J’avais la chair de poule. Je ne savais pas que j’étais si connu."