Le RWDM attend de bonnes installations

Thierry Dailly, responsable du projet du renouveau du RWDM, doit toujours travailler dans des conditions difficiles, comme il le confie au quotidien La Dernière Heure "Je n'ai même pas de bureau. Les gens voudraient me voir au stade, mais je n’y ai pas de local. On a juste la pièce qui servait de débarras à Vermeersch et qui est partagée par l’école des jeunes, l’équipe première et les RWDM Girls."

"Je suis obligé de prendre mes rendez-vous au Pick Quick du shopping d’Anderlecht. Certaines de nos réunions sont même organisées dans des bistrots ou dans des salles que l’on doit louer. On ne peut pas continuer comme ça."

Dailly voit des évolutions dans les infrastructures de son club, mais il est toujours possible de mieux faire. "C’est mieux que l’an passé, mais je pense qu’on a démontré qu’on peut aussi gérer tout un stade, comme on l’a fait contre l’Union, comme on le fait en prenant une bonne partie de l’entretien du terrain à nos frais. Ce serait bien de trouver une solution pour un meilleur partage du stade."