De Sutter : "Nous connaissons encore trop de hauts et de bas"

"On vient de jouer notre meilleur match contre Courtrai mais… j’étais absent en raison d’une petite blessure. J’espère qu’il n’y a pas de lien de cause à effet (rires). Le Top 6, qui est clairement notre objectif, n’est qu’à 5 points mais il est grand temps qu’on se reprenne. Cela risque toutefois d’être compliqué, dimanche, à Anderlecht, car nous connaissons encore trop de hauts et de bas", a déclaré De Sutter à L'Avenir.

L'ancien Diable Rouge s'attarde ensuite sur les raisons qui l'ont poussé à choisir Lokeren. "C’est le seul club qui était vraiment concret durant la trêve. Lokeren est une équipe toujours positive, calme et familiale. C’est vraiment ce dont j’avais besoin à ce stade-ci de ma carrière. À Anderlecht et à Bruges, c’était tout le temps la pression et en Turquie ce n’était pas non plus de tout repos."

Des changements à Anderlecht

Dimance, le grand Tom retrouvera le premier grand club à lui avoir fait (en partie) confiance : le Sporting d'Anderlecht. "J’ai cru comprendre que les règles y étaient très strictes depuis l’arrivée de René Weiler. Je trouve cela très bien. Ici à Lokeren, c’est parfois un peu trop cool à mon goût."

"J’ai entendu que ces dernières années, les jeunes avaient pris le pouvoir à Anderlecht. Oli (Deschacht), ça le rendait fou et c’est aussi pour ça que Silvio (Proto) est parti. Pour Hasi, qui faisait partie des meubles, c’était devenu impossible à la fin. Weiler, lui, a pu repartir d’une page blanche."