La pression s'accentue sur les épaules de Yannick Ferrera

La pression s'accentue sur les épaules de Yannick Ferrera
Photo: © photonews
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Plus les semaines avancent et plus la situation de Yannick Ferrera devient instable. A quelques semaines de la fin du mercato, c'est tout le club liégeois qui est en ébullition et la semaines pourrait encore être très agitée avant le déplacement à Bruges.

Yannick Ferrera a-t-il coaché le Standard pour la dernière fois? On est en droit de se poser la question, vu la présence de l'entraîneur portugais Vitor Pereira (ex-Fenerbahçe) lors de la rencontre entre les Rouches et le Sporting de Charleroi. La famille des Rouches a demandé, il y a 48 heures, une réunion avec la direction pour parler de la situation actuelle. Mais les supporters veulent-ils tous la tête de l'ancien entraîneur de Saint-Trond? La réponse est non.

Daniel Van Buyten et Bruno VenanzI sont sous pression

Si certains supporters liégeois le tiennent pour responsable de la mauvaise qualité du jeu du Standard, d'autres par contre ne sont pas dupes et se tournent vers la direction, c'est à dire Bruno Venanzi mais aussi Daniel Van Buyten. En effet, ce n'est tout de même pas Ferrera qui a décidé de vendre Santini lors de ce mercato.

Un président qui communique via les réseaux sociaux

Bruno Venanzi a tenté de calmer un peu les ardeurs cette semaine en tweetant (!!!), annonçant l'arrivée de nouveaux joueurs avant la fin du mercato, Adrien Trebel a lui quantifié cette arrivée en parlant de quatre renforts. La situation de Daniel Van Buyten est différente. Dès son arrivée, beaucoup pensaient qu'avec ses relations il apporterait des joueurs venus tout droit de la Bundesliga, des noms farfelus ont été espérés par certains fans du Standard, mais il n'en est rien. Attendait-on trop de lui, surtout des choses qu'il ne sait pas apporter? Certainement...

Bref, il y a le feu à tous les étages à Sclessin, et ce serait mentir d'affirmer que ce dernier s'éteindra avec le départ de Yannick Ferrera. Ce n'est evidemment pas l'idéal à moins d'une semaine d'un déplacement à Bruges, où il y a un an presque jour pour jour les hommes d'Eric Deflandre (coach d'un jour) avaient pris l'eau et 7 buts.

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