Ariel Jacobs ne dit pas non au poste de coach fédéral: "On verra si on me contacte"

Ariel Jacobs tient d'abord à rappeler qu'il faut saluer le travail de Marc Wilmots. "Ce sont 4 ans avec des hauts et des bas qui s’effacent d’un coup. Moi, j’ai des difficultés à accepter ça. On oublie trop vite ce qui a été accompli. Il y a eu un redressement avec Wilmots" a-t-il confié à l'Avenir.

Il a ensuite donné les critères que devrait remplir le futur sélectionneur des Diables Rouges. "Il faut quelqu’un qui connaît le top niveau. Puis, quand on regarde l’Euro, on voit qu’il y avait peu d’équipes coachées par un étranger. C’est significatif. En plus, les étrangers sont souvent habitués à des budgets qu’on ne connaît pas en Belgique. Et il faut aussi qu’il soit capable de reprendre l’équipe dès le 1er septembre vu qu’il y a le match amical contre l’Espagne à cette date, et cela m’étonnerait qu’un étranger connaisse tous les tenants et aboutissants de l’équipe en si peu de temps..."

Tout le monde peut avoir le profil idéal

Pense-t-il pouvoir convenir pour le poste de coach fédéral ? "Tout le monde peut avoir le profil idéal" déclare-t-il avant de poursuivre. "Je ne postulerai pas... On verra bien si on me contacte. Je vais regarder. En tout cas, je n’ai pas d’agent ou d’intermédiaire, je n’en ai jamais eu et je ne vais pas commencer maintenant"