Aische avec les liégeois et luxembourgeois

"Pourquoi nous ?", s’interroge André Bertrand, le correspondant qualifié de Aische, dans les pages de L'Avenir. Si on me prouve par A + B que notre place est bien là, alors je pourrais comprendre."

"Mais actuellement, il y a beaucoup d’éléments qui nous perturbent. On fait un pas et nous nous retrouvons dans le Brabant. Et puis sur 28 clubs, Aische est le seul à ne retrouver personne de sa province avec lui. Je ne conteste pas l’aspect sportif, on sait que jouer en nationale implique de longs trajets. Mais là, c’est incompréhensible, on ne peut pas nous traiter de manière discriminatoire."

"J’ai fait les calculs. Dans le premier projet (mais je précise que je n’ai jamais rien vu passer d’officiel), notre plus court déplacement était Wavre, à 15 km. Et nous avions sept «derbys» à moins de 40 km. Ici, l’adversaire le plus proche, c’est Huy, à 45 km. Et sur la saison, en kilomètres, la différence entre les deux séries est de 500 km en plus."