Maniatis : "Ferrera m'a demandé d'être un des leaders"
Photo: © photonews
En Grèce, Ioannis Maniatis est connu pour avoir un gros caractère. Le médian était capitaine à l'Olympiakos, avant qu'une blessure ne l'écarte des terrains et du onze de base. "Mais mon statut n'a pas changé pour autant", a-t-il assuré.
À 29 ans, Maniatis peut-il être un des patrons du groupe liégeois pendant les Play-Offs? Sa hargne pourrait pousser le groupe vers le haut. Il avait porté le brassard à l'Olympiakos. "J'y compte bien. Le coach m'a également demandé d'être un leader. Non, la barrière de la langue ne sera pas un frein puisque beaucoup de monde parle anglais."
Je suis au Standard, mais des anciens équipiers me téléphonent pour demander conseil
Après sa blessure, son statut dans l'équipe grecque a-t-il changé? "Non. Quand j'étais occupé par ma revalidation, je continuais d'aider, de conseiller mes équipiers. Et ce jusqu'au dernier jour. Même si je suis ici au Standard, des joueurs de l'Olympiakos continuent de me téléphoner pour demander conseil."
À Panionios, Maniatis a évolué sous les ordres d'Emilio Ferrera. Retrouve-t-il des similitudes dans la façon de coacher de l'oncle et de son neveu Yannick? "Non, pas du tout", assure le médian. "Ça date d'il y a sept, huit ans, mais ils n'ont pas la même philosophie de jeu, ils n'ont pas les mêmes idées. Et oui, j'ai appris que leur entente n'est plus bonne."
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