Ben Kouider, l'agent de Vanden Borre, raconte qu'il lui avait trouvé un club, mais Anderlecht a refusé

Ben Kouider s'est exprimé dans les colonnes de Het Nieuwsblad pour mettre les choses au clair concernant son poulain, Anthony Vanden Borre. Il explique qu'il avait trouvé un accord avec le club turc de Kasimpasa mais quand les dirigeants turcs se sont déplacés à Bruxelles pour boucler l'opération, Anderlecht a changé son fusil d'épaule. 

"Tout d'un coup, Anderlecht réclamait un million d'euro. J'ai répondu que ça allait être compliqué, mais j'ai quand même réussi à convaincre Kasimpasa de mettre 300.000 euros sur la table pour la location. Mais l'option d'achat posée par Anderlecht était cette fois trop haute. Les Turcs en ont eu marre et ont tout arrêté."

Anderlecht et Van Holsbeeck avaient pourtant insisté sur le fait qu'ils voulaient trouver un nouveau club à Anthony ou que le joueur fasse ses excuses et prouve qu'il est prêt pour l'équipe première. Mais cette solution ne paraissait pas plaire à Besnik Hasi...

La balle est dans le camp des dirigeants

Ben Kouider poursuit et explique qu'il reste deux choix à Anderlecht concernant Vanden Borre. "Ce sont les dirigeants qui ont mis Anthony dans le trou, pas son entourage comme ils le disent. Maintenant, Anthony a encore deux ans et demi de contrat au club et la balle est dans le camp des dirigeants. Puisqu'il n'y a plus la perspective d'aller à l' Euro, Anthony va penser à l'argent. Soit, Anderlecht nous propose un transfert dans un club où il gagne plus que le million d'euros qu'il touche annuellement, soit, il reste prendre son argent ici. 

Et pourquoi pas la Chine pour Anthony ?