Rétro 2015 : Top 5 des citations

On a donc décidé de ressortir les coupures de journaux et les vieilles pages internet pour ressortir les 5 phrases qui nous ont marqués cette année.

Ferrera après Standard – OHL : « On a joué la première période comme des gamins de merde insolents »

Après une première mi-temps catastrophique cette saison, au début de l’ère Ferrera, le Standard est mené 0-2 chez lui par OHL. En fin de match, c’est 2-2. Mais l’entraineur des Rouches n’a pas digéré la première mi-temps honteuse de ses hommes et le fait savoir avec des déclarations chocs qui ne tournent pas autour du pot.

Proto après le Clasico de novembre : « On a vu la différence dans la façon de défendre. Les défenseurs du Standard ont taclé et défendu pour leur gardien »

Alors que le Standard est au fond du trou, les Liégeois s’imposent face aux Mauves sur le score de 1-0 grâce à un but de Legear. Jamais avare de bons mots, Silvio Proto se lâche après la rencontre et critique ouvertement ses défenseurs. Des propos qui auront fait grincer des dents au Parc Astrid.

Vanden Borre : « Dans le vestiaire, il y a apparemment des tapettes, qui ont peur qu'on les salisse dans les journaux »

Revenu au club comme l’enfant prodigue, Anthony Vanden Borre est tout aussi vite retourner dans l’ombre qu’il était revenu à la lumière. Coincé dans une situation trop compliquée, le Bruxellois le vit mal et tient, dans la presse, des propos vérités sur le groupe anderlechtois qui lui vaudront d’être renvoyé dans le noyau B et placé sur la liste des transferts.

Bob Peeters après Anderlecht – Westerlo : « Vous savez, on rirait d’un arbitre qui siffle ça en Angleterre. Ça ne m’étonne pas qu’il n’y ait par d’arbitre belge à l’Euro »

En fin d’année, Westerlo se déplace chez les Anderlechtois avec le mince espoir de repartir avec au moins un point. Un pénalty plus tard, Anderlecht s’impose 2-1 ce qui a le don de mettre Bob Peeters hors de lui, ne comprenant pas qu’il soit sifflé. Mais il ne devait y avoir que lui pour ne pas voir la faute…

B.Venanzi: « Je savais que j'achetais une maison à rénover. Je ne savais pas que les fondations étaient également touchées »

Mi-juin, c’est la joie au Standard. Roland Duchâtelet s’en va et Bruno Venanzi reprend le club. Fin août, après l’élimination en Coupe d’Europe, c’est l’heure de la soupe à la grimace. Et, sur le plateau de RTL-TVI, le président des Mosans tient des propos déroutants quant à la situation financière du club laissant présager peu de bonnes choses.