Penneteau et Charleroi à la 13e place : "On commence à regarder derrière au classement"

Edgar Makanga
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Penneteau et Charleroi à la 13e place : "On commence à regarder derrière au classement"
Photo: © photonews

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Avec un bilan de 6/18, le début de saison du Sporting de Charleroi est loin de répondre aux ambitions du club hennuyer. Inquiétants sur le plan offensif depuis quatre semaines, les Carolorégiens n'ont plus inscrit le moindre but de depuis 474 minutes de jeu ...

À Genk, Edgar Makanga
 
Sans livrer une partie extraordinaire, le Racing Genk s'est imposé vendredi soir sans coup férir face à une équipe du Sporting de Charleroi en proie au doute (2-0)
 
"Le premier but est un peu pour ma pomme", reconnaissait Nicolas Penneteau, dont la main a manqué de fermeté au moment de capter le tir de Julien Gorius (45e), auteur de l'ouverture du score.
 
Ensuite, les Carolorégiens n'ont jamais été en mesure d'inquiéter la cage de Laszlö Köteles. Inquiétants sur le plan offensif depuis quatre semaines, les Zèbres n'ont plus inscrit le moindre but depuis 474 minutes de jeu, soit depuis le 2 août dernier et le déplacement à Lokeren (2-2).
 
"Je n'ai pas le sentiment que nos attaquants soient en crise de confiance. Ils continuent de marquer à l'entraînement", poursuit l'expérimenté gardien français.
 
"Pour autant, il faut reconnaître que nous traversons une période difficile. En match, nos occasions ne sont pas très franches. On pèche systématiquement à la dernière ou à l'avant-dernière passe. Nous manquons de réussite et nos choix sont inadéquats. Dans le jeu, on doit être plus méchant." 

La saison de la confirmation est toujours plus difficile, on s'y attendait"

Au classement, les Zèbres dégringolent et occupent désormais la 13e place, avec un bilan de 6/18.
 
"Il faut reprendre des points. J'avoue qu'on commence à regarder derrière au classement. La saison de la confirmation est toujours plus difficile, on s'y attendait", ajoute Nicolas Penneteau.
 
"J'espère que la trêve internationale permettra de nous ressourcer. Mentalement, il aurait été plus facile d'aborder ces quinze jours avec un partage ou une victoire. Mais cela fait partie du métier."
 
 
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