Cinq buts en 20 minutes : les "premières" difficiles de Leander Dendoncker

Leander Dendoncker est unanimement reconnu comme un des jeunes les plus prometteurs de l'effectif anderlechtois. Après avoir été cité à de nombreuses reprises comme une potentielle révélation de la saison ces dernières années, c'est durant l'exercice 2014-2015 que le milieu de terrain a explosé, prenant par moments la place de Youri Tielemans dans le 11 de base de Besnik Hasi.

La remontée française

Pourtant, il semblerait que les premières apparitions de Dendoncker dans les différentes compétitions possibles soit vouées à être des échecs.

Ce dimanche, alors que la Belgique menait tranquillement 1-4 à Saint-Denis contre la France, Marc Wilmots a commencé à réaliser plusieurs changements dans son équipe. Outre Lukaku, Carrasco, Chadli et Dembele, Dendoncker a également eu l'occasion de faire ses premiers pas pour la Belgique en montant au jeu à la 85e minute.

Pas de chance pour lui, ce remplacement a coïncidé avec le réveil des Bleus, buteurs aux 89e et 91e minute grâce à Fekir et Payet. Si l'Anderlechtois n'est pas directement impliqué sur les buts français, cette situation a certainement dû lui en rappeler d'autres en début de saison...

Triste baptême en CL

Le 16 septembre dernier, alors qu'Anderlecht mène en développant un superbe football sur la pelouse de Galatasaray en Ligue des Champions, le buteur Dennis Praet est remplacé à 12 minutes du terme par un petit nouveau : Leander Dendoncker. La suite ? Une fin de match prise à la légère et une égalisation turque qui, au final, a compté dans l'élimination des Mauves pour le deuxième tour.

Mais ce n'est pas fini : un mois plus tard, même scénario au Parc Astrid quand Dendoncker remplace de nouveau Praet à la 88e et que les Bruxellois mènent 1-0. Dans la minute qui suit, Kieran Gibbs remet les deux équipes à égalité avec que Lucas Podolski n'offre la victoire aux Gunners.

Pour terminer, lors de la deuxième journée des PO1, Leander Dendoncker est monté au jeu à 11 minutes du terme avant que Vormer n'offre la victoire finale aux Brugeois. Et devinez qui il avait remplacé ? Hé oui !