Thomas Meunier : "Malgré ce zéro sur six, le Club de Bruges ne doute pas"
Photo: © SC
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Dimanche après-midi (14h30), pour la 7e journée des playoffs 1, Anderlecht s'est imposé face au Club de Bruges (3-1). Le back droit, qui reconnaît les erreurs de son équipe sur les deux premiers buts, estime que les Blauw en Zwart demeurent favoris pour le sacre.
"Notre entame de renconte fut catastrophique", admet l'Ardennais, alors que le Club a concédé l'ouverture du score, pour la septième fois en autant de matches de playoffs 1. "Ce manque de lucidité est inexplicable."
"Le premier but anderlechtois résulte d'un manque de communication entre le défenseur central et le back gauche. Andy Najar, dont on connaît la vivacité, en a pleinement profité. Il n'est pas évident de tenir en permanence à l'oeil de tels joueurs. Quant au deuxième but, il est consécutif à une perte de balle."
Paradoxalement, en dépit du résultat, nous avons sans doute livré l'un de nos meilleurs matches en playoffs 1"
Après deux défaites consécutives, sur les pelouses du Standard de Liège (1-0) et d'Anderlecht (3-1), dans quelle mesure le moral des Blauw en Zwart est-il atteint ?
"Malgré ce zéro sur six, et même si nous avons dilapidé notre avance au classement, nous ne doutons pas", assure Thomas Meunier, dont le discours se veut optimiste. "Paradoxalement, en dépit du résultat négatif, nous avons sans doute livré l'un de nos meilleurs matches en playoffs 1. Le Club de Bruges reste toujours favori : nous avons mené la danse durant tout le championnat, tout en remportant la Coupe de Belgique et en réalisant un brillant parcours européen. De plus, l'entame de nos PO 1 fut également positive."
L'arrière droit brugeois prévoit cependant une bataille âpre pour la conquête des lauriers nationaux.
"Pour la première fois depuis longtemps, nous n'aurons pas de rencontre en semaine ou de match de Coupe d'Europe. Il reste encore trois journées. Le programme des trois derniers candidats au titre est similaire. Mais il n'y a aucune certitude. Il peut encore y avoir des surprises, tout le monde peut battre tout le monde. La lutte ne s'achèvera pas avant la dernière journée, quoi qu'il arrive", conclut le Diable Rouge de 23 ans.
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