Et si Anderlecht refusait de jouer le Clasico?
Photo: © Photonews
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Besnik Hasi l'explique calmement dans le journal Het Nieuwsblad: en cas de tifo violent, injurieux à Sclessin, ou de lancement de fumigènes et de pétards sur ses joueurs, il pourrait rappeler son équipe au vestiaire.
Le Clasico de ce dimanche sera sous haute tension. Les deux équipes doivent l'emporter, et tout le monde a encore en mémoire les évènements du dernier Standard - Anderlecht à Sclessin. Besnik Hasi ne veut pas revivre une pareille situation, et se dit prêt à passer à l'action.
"Je peux préparer mes joueurs au jeu agressif du Standard, mais pas à ce qu'il se passe en tribunes" a expliqué le coach des champions de Belgique. "Ce qu'il s'était passé la dernière fois à Sclessin avait dépassé les bornes et a eu un impact sur le match: les pétards jetés à la tête de Proto, le tifo."
Les Anderlechtois avaient acceptés de poursuivre la rencontre sans sourciller, mais cette fois, la donne sera différente: "Si un tel tifo devait se reproduire, nous réagirons différemment."
Le cas échéant, les joueurs du Sporting pourraient quitter la pelouse sur ordre de leur entraîneur. Quel serait l'impact d'une telle décision sur la rencontre?
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