Felice Mazzù : "Même sans Vazquez, Bruges reste une grande équipe"
Photo: © photonews
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À deux jours du déplacement du Sporting de Charleroi au Club de Bruges, samedi soir (20h), l'entraîneur Felice Mazzù a admis au micro de la RTBF qu'il avait des difficultés à trouver le sommeil. Les Carolorégiens devront défendre leur sixième place au Jan Breydelstadion.
"Honnêtement, je dors un peu moins bien que d'habitude non pas parce que je suis stressé ou nerveux mais parce que j'essaie de penser à tous les mots que je dois dire à mes joueurs. On est dans un moment où il faut essayer de les sensibiliser et trouver les mots essentiels pour les toucher mentalement pour qu'ils arrivent à créer cet exploit", explique Felice Mazzù, au micro de la RTBF.
À 180 minutes d'une éventuelle qualification pour les playoffs 1, le vestiaire semble rester calme.
"Je ne pense pas qu'on soit dans l'euphorie", ajoute l'entraîneur du RCSC. "On vient de tellement loin. On est plus dans un contexte de réussir quelque chose de grand que dans un contexte d'euphorie."
Charleroi doit d'abord regarder dans son assiette"
En perte de vitesse depuis quelques semaines, le Club Bruges sera à présent privé de Victor Vazquez - son maître à jouer - pour les six à huit prochaines semaines.
"Il n'y a pas d'avantage ou d'inconvénient. Charleroi doit d'abord regarder dans son assiette. Le groupe doit d'abord penser à lui et à sa manière de jouer", estime Felice Mazzù. "Même sans Vazquez, Bruges reste une grande équipe. On fait de nouveau beaucoup de lignes partout sur les cas Vazquez ou Defour. Ce sont des grands joueurs mais dans ces clubs-là, il y a tellement de grands joueurs que quand il en manque un, on ne voit pas la différence. Le groupe doit être capable d'annihiler l'absence d'un tel joueur."
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