Olivier Gournet, un véritable dingue du Standard
Photo: © SC
Le quotidien L'Avenir fait découvrir ce matin le côté supporter de l'acteur de cinéma.
Olivier Gourmet n'a jamais caché être un supporter acharné du Standard. C'est un habitué des travées de Sclessin. Il n'est pas un fan de la dernière heure suite aux titres de 2008 et 2009. Il avoue au quotidien L'Avenir : "Quand j’étais petit, j’ai reçu en guise de cadeau un maillot du club liégeois. Voilà comment tout a démarré. Mon premier match? Je devais avoir 8 ans, en 1971 ou 1972, je ne sais plus exactement. Standard – Antwerp. Les Rouches s’étaient imposés 1-0. J'ai même vu le premier match de Michel Preud’homme sous la vareuse rouge et blanche."
Acteur de cinéma est une profession qui ne lui laisse pas forcément beaucoup de place pour assouvir son besoin de supporter son équipe favorite : "Je ne suis plus allé au stade depuis au moins un an. Mais la première chose que je fais en me levant le matin, c’est consulter la presse et lire les articles en rapport avec le Standard. Ce que j’apprécie dans ce club? Comme tout le monde, la hargne, la ferveur, cette volonté d’aller vers l’avant et de ne rien lâcher. Le fait de mouiller le maillot jusqu’à la dernière minute du match."
Son amour du club va jusqu'à faire partie du projet "Standard Socios" dont le but avoué sera d'entrer dans le capital de la SA Standard de Liège : "Pourquoi avoir pris une part? Simplement car l’un des initiateurs de ce projet, à savoir Alain De Clerck est un ami. Il m’avait déjà sollicité lorsqu’une telle organisation avait vu le jour, lors du rachat en 2011. Il faudra voir comment le projet va évoluer. Je ne suis pas spécialement un anti-Duchâtelet. J’estime qu’il faut lui laisser aussi un peu de temps. Peut-être que je me trompe et qu’il n’est attiré que par l’aspect financier. Cependant, je trouve que la possibilité d'avoir un représentant au sein du CA est une bonne chose afin de pouvoir conserver les valeurs rouches et d’être au courant de ce qui se passe à l’intérieur du club. Le Standard, il s’agit d’une grande famille, d’un vecteur social."
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