Mons s'impose face au Club de Bruges
Photo: © SC
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L'entraineur des gardiens, Franky Vandendriessche repousse les propositions des Brugeois. « Je suis un homme de parole. »
Le patron des portiers montois a résigné jusqu’au 30 juin 2015 malgré le coup de fil de Bruges du 28 mai dernier :« Le premier contact date de ce jour-là, en soirée. Il fut ensuite impossible de trouver le sommeil. Déclare-t-il dans la DH.« Il est logique que l’intérêt d’un club du top te fasse réfléchir. Je l’ai fait. J’ai finalement décidé de rester, surtout par respect pour le président, qui a payé pour moi l’an passé. En Belgique, c’est assez rare pour être souligné. À ma place, neuf personnes sur dix auraient accepté de rejoindre Bruges. Pas moi, bien que ce soit une proposition qui ne se représentera pas de sitôt. »
Bien éveillé et l’esprit clair, ce clubman n’a pas hésité entre un plantureux contrat en Flandre et un plan de travail humain au Tondreau. Dominique Léone, patron des Dragons, avait déjà courtisé Franky pour le signer en provenance de Courtrai en 2010-2011 et remercié à l’époque par l’UB. Il a rebondi suite à la confiance de Léone. Franky n’a pas oublié les circonstances où il est passé de l’ombre à la lumière :
Alain Lommers, dans la foulée reconduit aussi le contrat de Bruno Leclercq (préparateur physique) : “C’était prévu depuis quelques mois, mais un problème privé rencontré par Dimitri Mbuyu (conseiller sportif) a retardé la chose. Les dirigeants de Mons ont apprécié mon honnêteté lorsque Bruges s’est manifesté, alors que je n’en ai même pas parlé à mes parents, je n’ai que 42 ans et encore de belles choses à faire dans le métier…”
Vas-y Francky,…
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