Duchâtelet, le tour du propriétaire
Photo: © SC
Son but : mettre en cage les supporters Rouches ? Comment gère-t- il son égo, quelles sont ses stratégies d'homme d'affaires, est-il compétent en matières sportives ?
Flash back, à l’aube de la saison défunte ((2011-2012), le Standard état orphelin d’un repreneur. Trop tard et connaissant le parcours de Roland Duchâtelet à Saint Trond, Luciano D'Onofrio aurait pu se méfier. En peu de temps, , le patron reprends les rênes et nettoie tout ce qui avait encore le parfum de l’ancienne direction :Pierre François( White Star) s’en souviens encore. D’autres ont suivi illico presto .A ce stade déjà, les prémices étaient consommées... Ces boulettes, à la sauce lapin, sont restées indigestes pour tous les Rouches. Les Liégeois sont à la limite de l’incitation à la haine, mais restent observateurs et payent leur abonnement.
Dur dur d’essuyer la première conséquence du manque de connaissance footballistique lorsqu’il a licencié son Ron Jans. Rednic. rentre sur la scène avec le travail, les résultats, l’amour du club qu’on lui connaît.
Le président est constant dans ses stats, il a consommé à la « Bayat » à Saint Trond quatorze entraineurs en sept ans. Cette saison est du même tonneau ,2 en un an. On comprend pourquoi le futur coach M. Luzon veut commencer le plus tard possible…
Son égo est égratigné, sans s’en ’être expliqué,le trio japonais n’a rien apporté sinon du merchandising. Rednic, s’est aussi trompé avec la venue de ses compatriotes, mais lui, s’est défendu publiquement et doit en subir les conséquences.
Il voit la paille dans l’œil de son entraineur, mais pas la poutre qui est dans le sien !
Ultime Provocation : 20 millions d’euros de c(s)es caisses pour raisons fiscales .A d’autres !
Mais si une société redistribue aux actionnaires le capital ou les parts bénéficiaires, c’est 20 millions en moins en caisse et donc, moins de liquidité pour acheter des valeurs sures sur le marché belge ou ailleurs. Selon les mercatos, les joueurs rentrent et sortent, mais ce n’est pas pour autant une société à vocation purement basée les mouvements d’argent.
Ce personnage obnubilé par l’image qu’il peut donner et afin de mieux croiser les plus grands du pays, se fait élire Sénateur en créant le parti Vivant .Ce mouvement politique est resté sur la scène belge aussi longtemps qu’une saison de foot .Ce politicien calculateur rejoint l’Open VLD. Le président est aussi inconstant dans ses choix politiques que sportifs une fois à l’extrême droite, une fois à droite.
Point commun entre la politique et le foot : le carnet d’adresses .De l’adresse il en a en affaires, il est ‘un des l’homme le plus riche en Belgique.
À quel prix ? Celui de crève-cœurs ? Supporter un club est une affaire de cœur, d’histoire, de sang et de sueur.
Dois t on évoluer vers un club géré strictement comme une entreprise sans âme ni conscience ?
Pour lui, oui. Il est cohérent avec lui-même, plus ,toujours plus.
S’il est proactif, il voudra atteindre d’autres objectifs personnels et titiller Bill Gates pour devenir l’homme le plus riche du monde, mais surement l’homme le plus haï de la planète foot…
Mais attention, plus on monte haut, plus on tombe bas,…
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