Copa et Proto se crèpent le chignon
Photo: © SC
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Gros incident après le match Lokeren- Anderlecht où les deux gardiens de buts se sont pour le moins bousculé.
Après le coup de sifflet de l'arbitre qui a sanctionné la victoire des champions de Belgique à Lokeren, les deux gardiens de but en sont venus aux mains. Les versions de l'incident divergent, bien entendu, selon les témoignages des deux derniers remparts.
Pour Boubacar Copa, Silvio Proto l'aurait insulté. "Après le match, j'ai simplement été trouver Proto pour lui dire que je trouvais grave qu'une équipe comme Anderlecht aie besoin de gagner du temps pour arriver à ses fins, a expliqué le gardien de l'équipe nationale de Côte d'Ivoire. Proto s'est mis alors à m'insulter en me balançant un vas-te faire enculer, fils de pute".
Puis Copa d'ajouter : "Il m'a profondément déçu. Moi, je ne l'ai pas insulté. Je ne demande qu'une forme de respect. J'ai une famille, lui aussi. J'espère qu'il s'excusera, sinon je ne pense pas que je puisse un jour lui pardonner".
Du côté de Silvio Proto, c'est un tout autre son de cloche. "J'ai voulu le féliciter et il s'est mis à m'insulter. Nous avons gagné. Pourquoi l'aurais-je insulté? Mais lui, il a dit des choses que je n'ai pas du tout apprécié. Pour moi, l'incident est clos. Je suis prêt à m'excuser, mais ce n'est pas moi qui lui ai sauté à la gorge. Ce n'est qu'après ça que j'ai réagi".
Pour Boubacar Copa, Silvio Proto l'aurait insulté. "Après le match, j'ai simplement été trouver Proto pour lui dire que je trouvais grave qu'une équipe comme Anderlecht aie besoin de gagner du temps pour arriver à ses fins, a expliqué le gardien de l'équipe nationale de Côte d'Ivoire. Proto s'est mis alors à m'insulter en me balançant un vas-te faire enculer, fils de pute".
Puis Copa d'ajouter : "Il m'a profondément déçu. Moi, je ne l'ai pas insulté. Je ne demande qu'une forme de respect. J'ai une famille, lui aussi. J'espère qu'il s'excusera, sinon je ne pense pas que je puisse un jour lui pardonner".
Du côté de Silvio Proto, c'est un tout autre son de cloche. "J'ai voulu le féliciter et il s'est mis à m'insulter. Nous avons gagné. Pourquoi l'aurais-je insulté? Mais lui, il a dit des choses que je n'ai pas du tout apprécié. Pour moi, l'incident est clos. Je suis prêt à m'excuser, mais ce n'est pas moi qui lui ai sauté à la gorge. Ce n'est qu'après ça que j'ai réagi".
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