Pour Adriano Galliani, "C'est un mercato de malades"
Photo: © SC
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Certains grands clubs ont joué la prudence. Le Real a loué Adebayor. Wolfsburg a loué Mbokani. Manchester City a voulu louer Carcela. Mais d'autres clubs n'ont pas eu cette réserve et ont acheté comme des fous.
L'an dernier, l'Uefa avait invoqué le principe de fair-play financier qui sera d'application de manière contraignante à partir de 2014. Ce principe de fair-play impose aux clubs de ne pas dépenser plus d'argent que les recettes qu'ils réalisent.
Plusieurs grands clubs s'y préparent et n'achètent plus à tout va. La formule de location de joueurs est de plus en plus pratiquée. Même par les géants d'Europe. Avec parfois une option d'achat à la clé. Mais d'autres clubs n'ont pas encore intégré le message de l'UEFA. Ainsi, Chelsea a dépensé plus de 80 millions d'euros lors de ce mercato. Manchester City a payé 35 millions pour Dzeko. Liverpool 26 millions pour Suarez. Des sommes astronomiques. Déraisonnables.
Ce qui a fait dire à Adriano Galliani, le directeur général de l'AC Milan, club qui vient de se payer Antonio Cassano, Urby Emanuelson, Mark van Bommel, Didac Vila et Nicola Legrottaglie, "Malgré le principe de fair-play financier, tout le monde achète comme des fous, nous y compris".
Galliani a au moins le fair-play de le reconnaitre.
Plusieurs grands clubs s'y préparent et n'achètent plus à tout va. La formule de location de joueurs est de plus en plus pratiquée. Même par les géants d'Europe. Avec parfois une option d'achat à la clé. Mais d'autres clubs n'ont pas encore intégré le message de l'UEFA. Ainsi, Chelsea a dépensé plus de 80 millions d'euros lors de ce mercato. Manchester City a payé 35 millions pour Dzeko. Liverpool 26 millions pour Suarez. Des sommes astronomiques. Déraisonnables.
Ce qui a fait dire à Adriano Galliani, le directeur général de l'AC Milan, club qui vient de se payer Antonio Cassano, Urby Emanuelson, Mark van Bommel, Didac Vila et Nicola Legrottaglie, "Malgré le principe de fair-play financier, tout le monde achète comme des fous, nous y compris".
Galliani a au moins le fair-play de le reconnaitre.
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