Laszlo Csaba chauffe la salle de presse à défaut du stade
Photo: © SC
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Lors de la conférence de presse organisée à la veille de recevoir le Germinal Beerschot de Jacky Mathijssen, Laszlo Csaba a joué au pitbull de salon en adressant un "fuck-off" bien senti aux criticailleurs.
Laszlo Csaba vit des moments difficiles. Le coach de l'année en Hongrie en 2004 et de l'Ecosse en 2008 connait une saison d'enfer. Avec un bilan de 3/45, il est à peu près le cancre de l'Europe, le Guardiola des catacombes, le bonnet d'âne qu'on poserait sur la tête du Cadichon de la Comtesse de Ségur.
A la veille de recevoir le Beerschot de ... Jacky Mathijssen, Csaba a joué de ses nerfs comme de la harpe pour montrer au final des dents de pitbull à ceux qui le prenaient pour le bichon magyar d'Abbas Bayat. Lors d'une conférence de presse, il s'est adressé aux journalistes en anglais, avec un accent de goulash épicée,
"C’est l’expérience la plus difficile de ma carrière, a lancé Csaba. Chaque jour, il y a vingt mille personnes qui pensent pouvoir analyser mieux que moi le jeu du Lierse ou qui pensent que je ne sais pas parler à mon groupe. Je demande à chaque journaliste et à chaque personne qui parle de Charleroi de venir voir le travail qui est fait chaque jour avec les joueurs. Construire une nouvelle équipe en deux semaines est un challenge qui me remplit de confiance. Même si je ne devrais pas le dire : “ fuck off ” à ceux qui n’arrêtent pas de critiquer".
A la veille de recevoir le Beerschot de ... Jacky Mathijssen, Csaba a joué de ses nerfs comme de la harpe pour montrer au final des dents de pitbull à ceux qui le prenaient pour le bichon magyar d'Abbas Bayat. Lors d'une conférence de presse, il s'est adressé aux journalistes en anglais, avec un accent de goulash épicée,
"C’est l’expérience la plus difficile de ma carrière, a lancé Csaba. Chaque jour, il y a vingt mille personnes qui pensent pouvoir analyser mieux que moi le jeu du Lierse ou qui pensent que je ne sais pas parler à mon groupe. Je demande à chaque journaliste et à chaque personne qui parle de Charleroi de venir voir le travail qui est fait chaque jour avec les joueurs. Construire une nouvelle équipe en deux semaines est un challenge qui me remplit de confiance. Même si je ne devrais pas le dire : “ fuck off ” à ceux qui n’arrêtent pas de critiquer".
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