Quand Ashley Cole pleure à gros bouillons

A Chelsea, quand un joueur a un coup de blues, ça chiale à faire déborder la Tamise. Ashley Cole, l'intraitable, le dur, le muscle sur pattes, le Bruce Willis des stades, le Bad Boy friqué et insolent, le macho donjuanesque, le papillon aux ailes de cynisme a craqué. Il s'est effondré. Il a pleuré toutes les larmes de son corps fitnessé en tombant sur une photo de Cheryl, sa Cheryl qu'il avait plaquée il y a quelques mois, dans les bras d'un autre, dans les bras de Derek Hough, un danseur qui plus est. La défaite totale. La honte en tutu. Le remords en petits pas.

Désormais, ne lui parlez plus de Sacre du Printemps. Ou le Cole risquerait de vous en coller une.