Rien ne va plus pour les mauves encore battus
Photo: © SC
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Le Sporting d'Anderlecht s'est à nouveau fait battre. Oleg Iachtchouk a en effet marqué le but de la victoire du Cercle de Bruges.
La direction anderlechtoise a beau entonner sans trop de conviction un "Tout va très bien la marquise", la prestation proposée ce dimanche par les Anderlechtois est bien plus qu'un incident, une bêtise à déplorer comme le dit si bien la chanson.
Car les mauves ont joué en fantômes, animés comme des morts-vivants sortis du tombeau des sarcasmes essuyés depuis la débâcle de la semaine passée. Ce Sporting là est malade. Très malade. Il n'a strictement rien montré en première mi-temps, se contentant de faire circuler le ballon comme si les joueurs étaient sur la plage à dix kilomètres plus loin.
Et patiemment, les Brugeois du Cercle ont attendu le baillement de trop des joueurs d'Ariel Jacobs pour frapper. En première mi-temps déjà, Oleg Iachtchouk décochait un envoi sur le poteau du crucifix morbide des joueurs de la capitale.
En seconde mi-temps, au lieu d'un sursaut que tous les supporters mauves étaient en droit d'attendre, on assista au contraire à une nouvelle descente aux enfers de la médiocrité des mauves saluée par des Brugeois de plus en plus entreprenants. Sur un service de Reynaldo, Oleg Iachtchouk battait Silvio Proto à l'heure de jeu. Iachtchouk marquait ainsi un but cruel contre le club de son coeur sous les yeux atterrés de la direction du club de St-Guidon.
La dernière demi-heure du Sporting ne fut guère meilleure. Certes, il tenta de recoller au score, mais la maladresse et l'apathie de son secteur offensif condamnèrent Anderlecht à une nouvelle défaite.
Le Cercle, par contre, réalise au classement une excellente opération puisqu'il se hisse désormais à la cinquième place, à deux petits points de son adversaire du jour.
Car les mauves ont joué en fantômes, animés comme des morts-vivants sortis du tombeau des sarcasmes essuyés depuis la débâcle de la semaine passée. Ce Sporting là est malade. Très malade. Il n'a strictement rien montré en première mi-temps, se contentant de faire circuler le ballon comme si les joueurs étaient sur la plage à dix kilomètres plus loin.
Et patiemment, les Brugeois du Cercle ont attendu le baillement de trop des joueurs d'Ariel Jacobs pour frapper. En première mi-temps déjà, Oleg Iachtchouk décochait un envoi sur le poteau du crucifix morbide des joueurs de la capitale.
En seconde mi-temps, au lieu d'un sursaut que tous les supporters mauves étaient en droit d'attendre, on assista au contraire à une nouvelle descente aux enfers de la médiocrité des mauves saluée par des Brugeois de plus en plus entreprenants. Sur un service de Reynaldo, Oleg Iachtchouk battait Silvio Proto à l'heure de jeu. Iachtchouk marquait ainsi un but cruel contre le club de son coeur sous les yeux atterrés de la direction du club de St-Guidon.
La dernière demi-heure du Sporting ne fut guère meilleure. Certes, il tenta de recoller au score, mais la maladresse et l'apathie de son secteur offensif condamnèrent Anderlecht à une nouvelle défaite.
Le Cercle, par contre, réalise au classement une excellente opération puisqu'il se hisse désormais à la cinquième place, à deux petits points de son adversaire du jour.
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