Ondrej Mazuch n'a rien à envier à Ariel Jacobs dans le maniement des paradoxes. Pour le défenseur tchèque du Sporting, l'électro-choc subi contre Partizan peut être un bien dans le mal.
Ondrej Mazucha assurément la pensée subtile qui aide à surmonter les coups de bambou. Le paradoxe est souvent un sacré ressort. Le jeune défenseur tchèque des mauves n'a pas hésité dans le journal Het Laatste Nieuws à trouver des points positifs dans l'élimination précoce de son club en Champion's League. "Nous avons tous pu recharger nos batteries. Il y a beaucoup de solidarité dans le groupe. J'oserais presque dire que la cata vécue contre Partizan est une bonne chose. Elle a mis notre groupe devant un miroir. L'an dernier, après l'incident Wasyl, on avait survolé le championnat".