Lamah, lui aussi, a dû choisir
Photo: © SC
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Il n'y a pas que Mehdi Carcela qui possède plusieurs nationalités. C'est également le cas, entre autres, de Roland Lamah. Et d'autres cas similaires pourraient surgir à l'avenir.
La presse belge a largement relaté l'affaire Carcela, qui possède trois nationalités, et dans une moindre mesure le cas de Landry Mulemo, sélectionné par les fédérations congolaise et belge à quelques jours d'intervalle. Et alors qu'une nouvelle saga s'annonce avec la situation non moins compliquée d'Eliaquim Mangala, les journaux ont, en revanche, presque totalement passé sous silence le cas de Roland Lamah. Et pourtant, son histoire n'est pas sans rappeler celle de Carcela.
Lamah était lui aussi susceptible de défendre les couleurs de trois équipes nationales: la Belgique, la Côte d'Ivoire, où il est né et a vécu jusque l'âge de quatorze ans, et la Guinée, patrie de son père. Lamah déclarait ce lundi matin ceci dans le journal Het Nieuwsblad: "Jouer pour la la Côte d'Ivoire n'a jamais été à l'ordre du jour. La fédération ivoirienne ne m'a jamais contacté. Je suis belge."
Sa présence chez les Diables semble donc couler de source, mais il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a environ un an, il affirmait au journal l'Equipe: "Je ne sais toujours pas si je continuerai à jouer pour la Belgique. Si la fédération ivoirienne me contactait, je serais bien évidemment intéressé. Quand je vois jouer les Eléphants, je serais fier d'en faire partie un jour." L'indifférence des dirigeants ivoiriens à son égard aura au moins eu le mérite de clarifier les choses. Il est pourtant bien connu dans son pays natal, car son club du Mans a pignon sur rue en Côte d'Ivoire. Plusieurs internationaux sont passés par là comme Romaric (Séville, ex-Beveren) ou Gervinho (Lille, ex-Beveren).
Lamah fut aussi, en novembre 2008, contacté avec insistance par Robert Nouzaret, coach français de la Guinée, mais n'y donna pas suite.
Lamah était lui aussi susceptible de défendre les couleurs de trois équipes nationales: la Belgique, la Côte d'Ivoire, où il est né et a vécu jusque l'âge de quatorze ans, et la Guinée, patrie de son père. Lamah déclarait ce lundi matin ceci dans le journal Het Nieuwsblad: "Jouer pour la la Côte d'Ivoire n'a jamais été à l'ordre du jour. La fédération ivoirienne ne m'a jamais contacté. Je suis belge."
Sa présence chez les Diables semble donc couler de source, mais il n'en a pas toujours été ainsi. Il y a environ un an, il affirmait au journal l'Equipe: "Je ne sais toujours pas si je continuerai à jouer pour la Belgique. Si la fédération ivoirienne me contactait, je serais bien évidemment intéressé. Quand je vois jouer les Eléphants, je serais fier d'en faire partie un jour." L'indifférence des dirigeants ivoiriens à son égard aura au moins eu le mérite de clarifier les choses. Il est pourtant bien connu dans son pays natal, car son club du Mans a pignon sur rue en Côte d'Ivoire. Plusieurs internationaux sont passés par là comme Romaric (Séville, ex-Beveren) ou Gervinho (Lille, ex-Beveren).
Lamah fut aussi, en novembre 2008, contacté avec insistance par Robert Nouzaret, coach français de la Guinée, mais n'y donna pas suite.
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