Interview Sébastien Phiri nous parle de sa situation à La Gantoise
Photo: © SC
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WF : Comment cela se passe pour vous à la Gantoise?
Pas vraiment comme je l'aurai souhaité. En effet, dès le mois de juillet, je suis passé du noyau Pro au noyau espoir. Je suis évidemment déçu car il avait été convenu que je m'entraînerai avec l'équipe première toute la saison. Mais je ne regrette pas forcément mon choix car j'engrange de l'expérience. Je continue à travailler en attendant de pouvoir saisir ma chance si elle se présente un jour.
WF : Quid de la fin de saison?
Je continue à me donner à fond car j'ai des échéances importantes qui arrivent. Avec l'équipe nationale et le tour elite pour le championnat d'Europe. Ce sera en juin en Belgique, c'est une compétition importante pour notre équipe. On ne veut pas se louper. Et moi je veux être prêt.
WF : Et votre avenir se situe à La Gantoise?
Je veux trouver une solution pour progresser, que ce soit en D1 ou en D2. Et puis pourquoi pas l'étranger... Le club de La Gantoise ne compte pas sur moi pour l'avenir. Je le constate avec les nombreux transferts faits et des joueurs qui jouent à la même place que moi.
WF : Vous avez des contacts?
Oui, après certains matchs de réserve, je suis sollicité par les entraîneurs adverses. Ils me conseillent de rester en forme et s'étonnent de ma situation. Mais cela m'aide à garder le moral. Donc je poursuis mon travail dans l'ombre en espérant être récompensé un jour.
International belge en moins de 18 ans, l'ancien joueur du Brussels doit se contenter d'un statut d'espoir chez les Buffalos.
WF : Sébastien Phiri, pouvez-vous vous présenter en quelques mots?
J'ai 18 ans, je joue à La Gantoise. Par ailleurs, j'habite à Braine-le-château. J'ai joué deux saisons à Bruxelles avant de venir à La Gantoise. Je suis aussi international en équipe nationale des moins de 19 ans.
WF : Comment cela se passe pour vous à la Gantoise?
Pas vraiment comme je l'aurai souhaité. En effet, dès le mois de juillet, je suis passé du noyau Pro au noyau espoir. Je suis évidemment déçu car il avait été convenu que je m'entraînerai avec l'équipe première toute la saison. Mais je ne regrette pas forcément mon choix car j'engrange de l'expérience. Je continue à travailler en attendant de pouvoir saisir ma chance si elle se présente un jour.
WF : Quid de la fin de saison?
Je continue à me donner à fond car j'ai des échéances importantes qui arrivent. Avec l'équipe nationale et le tour elite pour le championnat d'Europe. Ce sera en juin en Belgique, c'est une compétition importante pour notre équipe. On ne veut pas se louper. Et moi je veux être prêt.
WF : Et votre avenir se situe à La Gantoise?
Je veux trouver une solution pour progresser, que ce soit en D1 ou en D2. Et puis pourquoi pas l'étranger... Le club de La Gantoise ne compte pas sur moi pour l'avenir. Je le constate avec les nombreux transferts faits et des joueurs qui jouent à la même place que moi.
WF : Vous avez des contacts?
Oui, après certains matchs de réserve, je suis sollicité par les entraîneurs adverses. Ils me conseillent de rester en forme et s'étonnent de ma situation. Mais cela m'aide à garder le moral. Donc je poursuis mon travail dans l'ombre en espérant être récompensé un jour.
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