Forza España!
Photo: © SC
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Désenvoûtés, les Espagnols ont mis fin à 88 années de malédiction face à la Squadra Azzura. Après un match tendu où les Italiens ont parfaitement contré les offensives espagnoles, c’est aux tirs au but que la Roja s’est imposée.
La chaîne espagnole privée « Cuatro » , en partenariat avec Canal+ et d’autres grands médias, à lancé lors de cet Euro un nouveau slogan pour la Roja : « Podemos ! ». Comprenez par là qu’une fois de plus, toute l’Espagne veut y croire, elle « peut » le faire, elle en est capable, c'est une certitude.
Et il semblerait que le message ait traversé les montagnes pour résonner au creux de l’oreille des hommes d’Aragonés. Car face à l’Italie, la Furia a lutté jusqu’au bout malgré la forte opposition des Italiens. Une Squadra très défensive misant sur le contre et sur le jeu aérien, un style favorisant notamment un certain Luca Toni. Mais tant Sergio Ramos, plus défensif qu’à l’accoutumée, que Carles Puyol, fidèle à sa réputation de valeureux guerrier, sont parvenus à museler le buteur transalpin du Bayern Munich. De son côté, l’Espagne misait à nouveau sur son duo d’attaque favori composé par les « enfants » Villa et Torres. Mais El Guaje et El Niño n’ont pas été capables de déflorer la marque.
Après 90 minutes sans buts, le public viennois avait droit à 2x15 minutes de prolongation…Qui ne donneraient rien.
C’est donc à l’issue de tirs au but que la rencontre allait livrer son verdict. Et à ce petit jeu, les Espagnols semblaient les plus forts, malgré un raté de Güiza. Car Casillas, stoppant les envois de Di Natale et De Rossi, et Fabregas, inscrivant le tir au but victorieux dans la foulée, devenaient les héros de toute une nation et offraient le succès que les Espagnols attendaient depuis 88 ans... Face à des Italiens qui passaient pourtant très près du hold-up parfait.
Après 90 minutes sans buts, le public viennois avait droit à 2x15 minutes de prolongation…Qui ne donneraient rien.
C’est donc à l’issue de tirs au but que la rencontre allait livrer son verdict. Et à ce petit jeu, les Espagnols semblaient les plus forts, malgré un raté de Güiza. Car Casillas, stoppant les envois de Di Natale et De Rossi, et Fabregas, inscrivant le tir au but victorieux dans la foulée, devenaient les héros de toute une nation et offraient le succès que les Espagnols attendaient depuis 88 ans... Face à des Italiens qui passaient pourtant très près du hold-up parfait.
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