L'Espagne, ce n'est pas Rafael Nadal
Photo: © SC
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L’Espagne débute son Euro 2008 face à la Russie ce mardi dès 18h. Un match que les hommes de Luis Aragonés auront à cœur de remporter pour bien démarrer la compétition...
Vingt quatre ans exactement que les Ibères n'ont plus dépassé les quarts de finale, que ce soit en Coupe du monde ou lors d'un Championnat d'Europe des nations. Depuis 1984 et sa finale de l'Euro perdue contre la France de Michel Platini, l'Espagne n'a plus rien connu, ou presque, sur la scène internationale.
Et pourtant, les Fabregas, Torres, Iniesta, Villa, et autre Casillas font partie des plus doués de leur génération. Une génération qui peut se targuer d’avoir déjà remporté de nombreux titres dans les équipes d’âge ; mais à l’heure de franchir la porte de la Roja, quelque chose semble coincer.
Ce mardi, c'est donc toute une nation qui à nouveau, soutiendra son équipe dans l'espoir d'assister à un dénouement...Différent!? Mais si une victoire face à la Russie pourrait mettre les Espagnols sur orbite, elle ne garantirait pas pour autant à l’Espagne une qualification, comme le rappelle Iker Casillas à quelques heures de la rencontre: « En 2004 au Portugal, nous avions remporté le premier match avant de finalement rester sur la touche à l’issue des deux autres rencontres ». Un premier succès qui n’avait pas porté chance aux Ibériques et qu’ils avaient remporté face à…La Russie !
Et pourtant, les Fabregas, Torres, Iniesta, Villa, et autre Casillas font partie des plus doués de leur génération. Une génération qui peut se targuer d’avoir déjà remporté de nombreux titres dans les équipes d’âge ; mais à l’heure de franchir la porte de la Roja, quelque chose semble coincer.
Ce mardi, c'est donc toute une nation qui à nouveau, soutiendra son équipe dans l'espoir d'assister à un dénouement...Différent!? Mais si une victoire face à la Russie pourrait mettre les Espagnols sur orbite, elle ne garantirait pas pour autant à l’Espagne une qualification, comme le rappelle Iker Casillas à quelques heures de la rencontre: « En 2004 au Portugal, nous avions remporté le premier match avant de finalement rester sur la touche à l’issue des deux autres rencontres ». Un premier succès qui n’avait pas porté chance aux Ibériques et qu’ils avaient remporté face à…La Russie !
Il faudra donc passer l’obstacle russe mais aussi tous les autres. Le chemin est long et semé d'embuches mais il ne semble pas effrayer un groupe qui se dit prêt à relever tous les défis.
« Car c’est avant tout sur le groupe et pas sur ses individualités qu’il nous faudra miser » poursuit Casillas. « L’équipe nationale, ce n’est pas Rafael Nadal mais une équipe qui représente l’Espagne et qui se doit d’évoluer en harmonie ».
Et pourtant, si le tennisman connaît la terre battue mieux que personne, l’équipe nationale a, de son côté, pris la mauvaise habitude de décevoir lors de compétitions majeures, et de retourner en ses terres…Battue.
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